La mort
Je te regarde dans les yeux,
Dehors il pleut,
Des larmes coulent de mes yeux,
Ton regard est figé,
Je continue de te regarder,
Je te parle, te secoue,
Encore et encore,
Mais tu ne réagis plus.
J’en peux plus ,
Je tape avec mon poing le sol.
Ma main se brise à même le sol,
Mais je continue en criant,
Jusqu’ à ce que mes cordes vocales éclatent,
Ce ne sont plus des gouttes
Mais un torrent de larmes qui s’écoule,
Sur mes joues qui ont arrêté de sourire,
Depuis le moment où je t’ai
retrouvé sans sourire.
Maintenant je prie, en espèrant
Qu'en rouvrant les yeux,
Je puisse voir les tiens me regardant,
Comme avant ce terrible accident.
Et qu'on voit dans nos yeux,
notre amour brûler.
Comme un feu rallumé
Mais yeux s’ouvrent comme une porte
qui m’emmènerait à toi.
Mais quand j‘ai aperçu tes paupières fermées,
J’ai su que cette porte serait verrouillée à jamais.
Je te regarde dans les yeux,
Dehors il pleut,
Des larmes coulent de mes yeux,
Ton regard est figé,
Je continue de te regarder,
Je te parle, te secoue,
Encore et encore,
Mais tu ne réagis plus.
J’en peux plus ,
Je tape avec mon poing le sol.
Ma main se brise à même le sol,
Mais je continue en criant,
Jusqu’ à ce que mes cordes vocales éclatent,
Ce ne sont plus des gouttes
Mais un torrent de larmes qui s’écoule,
Sur mes joues qui ont arrêté de sourire,
Depuis le moment où je t’ai
retrouvé sans sourire.
Maintenant je prie, en espèrant
Qu'en rouvrant les yeux,
Je puisse voir les tiens me regardant,
Comme avant ce terrible accident.
Et qu'on voit dans nos yeux,
notre amour brûler.
Comme un feu rallumé
Mais yeux s’ouvrent comme une porte
qui m’emmènerait à toi.
Mais quand j‘ai aperçu tes paupières fermées,
J’ai su que cette porte serait verrouillée à jamais.